D’ici deux ans, une personne sur deux pourrait acheter ses lunettes en ligne.

C’est en tout cas ce que révèle une enquête menée auprès des consommateurs allemands. Car Outre-Rhin aussi l’optique en ligne poursuit son développement.

Tout comme en France, le marché de l’optique allemand traditionnel voit se développer la concurrence sur de vente de lunettes sur Internet. Dans une étude, la Zentralverband der Augenoptiker (ZVA), autrement dit l’Association des opticiens outre-Rhin, a voulu savoir ce que représente les ventes de l’optique en ligne. On vous épargne les méthodes de calculs (comme chez nous, il est difficile d’obtenir des chiffres fiables et définitifs), mais la ZVA estime
que le chiffre d’affaires de l’optique en ligne s’élève à 100 millions d’euros au minimum. Ou plus exactement s’élevait puisque cette estimation porte sur l’année 2010. Et quelle évolution prévoit-elle ? Projections à l’appui, la ZVA pense que la branche des opticiens en ligne devrait peser 145 millions d’euros en 2015, à raison d’un rythme de croissance annuel de ce secteur de 8 %.

Plus intéressant encore, on découvre en marge de l’étude de la ZVA une enquête réalisée cette fois par Elke Dobisch Marktforschung, un institut de sondage munichois, sur la probabilité d’achat d’équipements optiques dans les deux prochaines années. Près de 30 % des sondés déclarent qu’au cours des deux années à venir ils achèteront « certainement, probablement ou peut-être » des lunettes de vue sur internet. Le pourcentage grimpe à 50 % quand les personnes interrogées sont intéressées par la vente en ligne en général.

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Zeiss Sunlens et ses « lunettes en papier »

À l’occasion de son centenaire, Carl Zeiss Vision Sunlens présente une édition limitée très spéciale de solaires imaginées par le designer hongkongais Simon Chim.

On n’a pas tous les jours 100 ans. Il y a un siècle exactement, la société allemande lançait en effet les verres ophtalmiques Punktal. Depuis lors, nombreux ont été les produits phares mis au point par le verrier. Citons pêle-mêle le traitement antireflet en 1935, le verre minéral photochromique en 1970, les verres progressifs à symétrie horizontale en 1983 ou encore les verres progressifs personnalisés en 2000. Aujourd’hui, pour célébrer cet anniversaire, la division Sunlens, dédiée au développement et à la production de verres solaires non-ophtalmiques, propose une série limitée de lunettes de soleil spécialement créées par Simon Chim. Ce designer de Hong Kong est notamment connu pour être le créateur de Recycle Paper Frames, ce concept qui consiste à envelopper une monture de lunettes de vue de papier imprimé, puis de la polir après l’application de plusieurs couches de revêtement protecteur. Le tout, fait à la main. Le designer hongkongais a appliqué cette méthode originale en prenant des images qui représentent des temps forts de l’innovation portée par Zeiss en matière de verres, bien sûr, mais aussi du côté des microscopes, objectifs photographiques et caméras. La photo ci-dessus donne un aperçu du résultat. Pour la vente, chaque paire de lunettes est accompagnée d’un élégant présentoir sur-mesure. Finissons en soulignant que chaque monture est équipée des verres solaires maison en CR-39.

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Que représente la vente de lunettes sur internet ?

La vente de lunettes en ligne représente à peine 5% du marché de l’optique. C’est encore peu, certes, mais les chiffres grossissent de jours en jours. En effet, l’optique est un marché de plus de 5 milliard de dollars qui attise les convoitises. Les opticiens sur internet revendiquent des prix tournant autour de 140€ quand l’État prend comme référence, pour les lunettes vendues en France, un prix entre 200 € pour des verres simples et 500 € pour des progressifs. Selon les opticiens en magasins, cette baisse des prix est là pour cacher une perte de qualité.  « Les sites devente en ligne se cantonnent à une gamme moyenne », estime Christian Roméas, le président du Syndicat des opticiens sous enseigne (Synope). « Nous proposons aussi des produits de marque et des verres progressifs », réplique Emmanuel Gréau, de Direct optic.

La marge est-elle plus élevée chez les opticiens en magasin ?

Très nombreux, les magasins feraient peu de vente. Leur marge, cependant, est très importante : elle est en effet de 60%.  « Nous, sur internet, nous faisons le contraire, dit Yves Jacquot, le président de l’Afoi. Nous limitons les marges pour faire beaucoup de ventes. »

Les opticiens traditionnels sont-ils inquiets ?

Bien que la vente de lunettes en ligne soit inéluctable, l’union des opticiens reste sereine car persuadée qu’elle reste limitée : « impossible de vendre toutes les puissances de correction sans rencontrer le client ». Pour Christian Roméas, du Synope, « la prise de mesure en magasin, pour le centrage des verres, est fondamentale et elle est, dans bien des cas, impossible à réaliser à distance ». Outre les possibilités de prise de mesures grâce aux nouvelles technologies, certains e-opticiens ont développé de réelles possibilités de prises de mesure précises et professionnelles. C’est notamment le cas d’ExperOptic qui, grâce à son kit de prise de mesures, est extrêmement précis et permet les services tels que le réglages et l’ajustage des lunettes, chose que les opticiens en magasin pensaient être les seuls à être en mesure de proposer.

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Les tendances des lunettes 2012.

Parce que chaque année, la mode change, voici un petit point sur la tendance 2012 en matière de lunettes de vue !

Ce sont les formes et les couleurs des année 60 qui sont remise au goût du jour pour 2012 ! Deux formes dominent pour les femmes. La première est le rond, bine qu’il faille faire attention à ce que ces montures s’adaptent à la forme de votre visage. La seconde, plus originale et d’avantage féminine est une forme papillonante, comme par exemple le modèle Ray Ban ci dessous.

Chez les hommes, la tendance reste d’avantage au classique rétro, comme les lunettes de vue Ray Ban WayFarer. Cette forme est reprise par de nombreuses marques et le modèle est disponible chez ExperOptic.

Notons que les couleurs flashy seront elles aussi à l’honneur. Les lunettes de soleil se déclinent souvent dans toute une gamme de couleurs vives. Quant aux lunettes de vue, ExperOptic vous en propose des colorés depuis plusieurs mois maintenant. Même si le noir, sobre et classe,reste à la mode, n’hésitez pas à porter de la couleur. Cette année, l’écaille fait également son grand retour. Bref, il y a donc l’embarras du choix au niveau des coloris !

Du côté des matières, c’est le plastique qui est tout en haut du podium, notamment s’il est transparent ou coloré. Les matériaux plus naturels tels que le bois et le cuir sont également tendance, tout comme les lunettes écologiques ! Le recyclable a du succès et c’est également le cas en matière d’optique, avec par exemple des lunettes fabriquées à partir de planches de skate cassées.

L’évolution du secteur de l’optique en ligne.

Ce secteur est découpé en différentes branches qui, chacune, évoluent différemment. La première branche est celle de l’achat de lentille en ligne, qui évolue sans cesse. A la fin de l’année 2011, un consommateur sur cinq achetait ses lentilles en ligne. Pour les deux tiers, il s’agissait d’achat régulier. La seconde branche de ce marché concerne l’achat de lunettes de soleil. Dans la majeure partie des cas, il s’agit de vente de déstockage. Ce n’est donc pas une vente régulière.

Enfin, la troisième branche du secteur est celle de la vente de lunette de vue. Elle reste encore embryonnaire, avec moins de 1% des consommateurs qui ont déjà acheté leurs lunettes en ligne. Il y a à cela plusieurs raisons :

  • les consommateurs sont parfois hésitants. En effet, l’optique est non seulement une vente de produit mais aussi une vente de service. Or, acheter ses lunettes de vue sur internet pourrait vouloir dire renoncer à ce service. Ce n’est bien entendu pas le cas de tous les opticiens en ligne.
  • Un grand nombre de consommateur ignore tout simplement que cela existe.

Internet reste malgré tout un outil indispensable : près d’un tiers des consommateurs se renseigne sur la toile avant de procéder à un achat d’optique. Ces renseignements peuvent être prit soit sur le site du magasin, soit par le biais de forums ou de réseaux sociaux.

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DMLA : le succès de greffes de cellules souches dans l’oeil offre un nouvel espoir.

Une équipe de médecins américains vient de franchir un pas prometteur dans le traitement de la DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l’âge). Cette percée médicale prouve qu’il est possible de greffer des cellules souches embryonnaires dans l’œil, en les injectant assez profondément dans l’épaisseur de la rétine.

Deux patients, qui avaient quasiment perdu la vue, ont déjà pu bénéficier de cette avancée majeure : une septuagénaire atteinte de la forme «sèche» de DMLA et une personne atteinte de la maladie de Stargardt (une forme de dégénérescence maculaire qui atteint les enfants généralement entre 7 et 12 ans). Des améliorations notables de la vision ont été constatées et ont persisté pendant plus de quatre mois.

Il s’agirait du premier rapport sur la transplantation de cellules dérivées de CSEh chez des patients. Selon Robert Lanza, directeur scientifique chez Advanced Cell Technology, les données concenrnant la prise de greffe sont à ce jour très encourageantes. Il existe déjà plusieurs médicaments pour le traitement de la DMLA cependant, aucune thérapie n’a été prouvée pour l’instant.

Ces deux essais ony été fait dans le cadre d’une étude ouverte visant à déterminer la sécurité et la tolérabilité des cellules dérivées de CSEh à la suite d’une transplantation sous-rétinienne, chez des patients atteints de DMLA sèche à 12 mois. Un certain nombre de personnes doivent encore être traitées.

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Ray Ban fait son apparition chez ExperOptic.

Opticien, vendant ses lunettes sur internet depuis bientôt un an, ExperOptic présente l’avantage d’être fiable et professionnel dans sa prise de mesure. A cela s’ajoute des très petits prix : les montures ainsi que les verres sont en effet peu chers, et il n’est pas rare de pouvoir s’équiper chez ExperOptic de lunettes progressives pour moins de 300 euros.

Jusqu’à présent, ExperOptic s’était cantonné à des modèles de marques peu connues : SLR, SunOptic … Les montures proposées sur le site d’ExperOptic sont de tous styles. Il est possible en effet de trouver des lunettes de vue relativement classique et d’autres nettement plus habillées. Il existe des modèles colorés et d’autres, au contraire, dans des teintes nettement plus sombres. Voici par exemple quelques modèles disponibles sur le site d’ExperOptic.

Lunettes Izmir, bleu & noir

Lunettes Fiore, brun modoré

Lunettes Gwen, rouge & noir

Aujourd’hui, en plus de ces marques aux modèles sympathiques et colorés, ExperOptic commence a vendre quelques produits de marques. Parmi les marques qui seront bientôt disponible sur le site, on retrouve sans surprise Ray Ban. Une première monture est d’ores et déjà disponible sur le site ExperOptic, le plus précis des lunettes de vue sur internet.

Ray Ban WayFarer Noir

 

Santéclair agrandit son réseau d’opticiens.

Santéclair complète son réseau optique. Dans les prochains jours, la plateforme  lancera des appels d’offres locaux dans une centaine de zones « en carence », où  le nombre souhaité de magasins partenaires n’est pas atteint et où il n’y pas de  liste d’attente.

Pour savoir s’ils appartiennent à l’une de ces zones, les opticiens doivent consulter le site Internet de Santéclair, www.santeclair.fr. Le cas échéant, ils pourront faire une demande d’accès à leur espace de candidature. Dans le cas contraire, ils seront invités à renseigner leur adresse e-mail pour être informés si un appel d’offre local est ouvert sur leur zone dans les 6 mois qui suivent la demande.

« Les opticiens concernés par un appel d’offre local et souhaitant faire acte de candidature devront se conformer au règlement disponible dans leur espace de candidature et aux instructions figurant sur le site Internet de Santéclair ». Ils devront
notamment respecter « les délais impartis ainsi que les exigences de base à toute candidature », rappelle Santéclair. A ce jour, le réseau optique de la plateforme compte 1 700 magasins. Il a été renouvelé début 2011 : 5 700 opticiens s’étaient portés candidats.

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La rétine artificielle.

La société Second Sight Medical Products vient de publier dans la revue Ophtalmology les résultats intermédiaires de son étude clinique portant sur sa rétine artificielle Argus II. Celle-ci peut restituer partiellement les fonctions visuelles des personnes atteintes de pathologies telles que la rétinite pigmentaire. Développé en partenariat avec l’Institut de la Vision à Paris, cet implant a obtenu l’autorisation de commercialisation en Europe il y a un an.

La quasi-totalité des patients améliorent leurs performances visuelles

« Les résultats démontrent la fiabilité à long terme et attestent que les sujets précédemment non-voyants ont obtenu de meilleurs résultats de tests visuels avec le système Argus II, notamment en termes de localisation d’objets et de discrimination de mouvement », se réjouit Dr Mark Humayun, professeur d’ophtalmologie et de génie biomédical à l’Université de Californie du Sud et principal auteur de l’étude. La prothèse a été implantée chez 30 patients (dont 4 en France), suivis pendant au minimum six mois. Les tests ont montré que :

- 96 % des sujets ont amélioré leur localisation d’objets
- 57 % des sujets ont amélioré leur discrimination de mouvement
- 23 % des sujets ont amélioré leur discrimination de champ visuel orienté.

L’étude montre également que le profil d’innocuité de cette rétine artificielle est « comparable à d’autres dispositifs et procédures ophtalmiques ». « Elle peut, tout simplement, aider les non-voyants à voir. Elle suscite un grand espoir parmi les patients atteints de rétinite pigmentaire », estime le Dr Stanislao Rizzo (Université de Pise), premier chirurgien à implanter Argus II après son approbation pour le marché européen. En France, le Professeur José-Alain Sahel, directeur de l’Institut de la Vision, a précisé au printemps dernier que « les personnes aptes à recevoir l’Argus II pourront être implantées dès qu’il sera remboursé par la sécurité sociale ».

Un dispositif bourré d’électronique

Rappelons que ce dispositif fonctionne grâce à la conversion de vidéos. Une caméra minuscule, placée sur des lunettes, filme des images. Un ordinateur de la taille d’un téléphone portable, qui se porte à la ceinture, traite ces images et les imprime, via une liaison sans fil, sur la puce électronique implantée sur la rétine. L’implant transmet des signaux aux cellules ganglionnaires de la rétine. Ces signaux sont interprétés comme des images par les aveugles, après plusieurs mois d’apprentissage.

Les Lunettes Technologiques de Google.

La rumeur court depuis plusieurs jours sur la Toile et n’a pas été démentie : Google s’apprête à lancer des lunettes dignes d’un film de science-fiction. Selon le site 9To5, qui a été le premier à dévoiler l’information, le prototype serait déjà testé par une poignée de chanceux, et les « geeks » attendent impatiemment sa commercialisation.

Un petit bijou bourré d’électronique

Selon les informations dont nous disposons, ces lunettes intégreraient le système d’exploitation Android (qui appartient à Google) pour transmettre à son utilisateur diverses informations. Elles seront connectées à Internet via une puce 3G pour accéder directement aux services proposés par Google. Le porteur pourra naviguer sur la Toile et cliquer sur les différentes fonctions pardes mouvements de la tête, « simples et intuitifs », explique 9To5, ou par un système de commande vocale. Les données seront projetées sur l’un des verres, l’autre restant neutre pour ne pas troubler la vision du porteur. Par ailleurs, les lunettes reprendront les fonctionnalités « classiques » d’un smartphone, avec un micro, un GPS, des écouteurs et une caméra miniature dotée d’un flash.

Côté look, les spéculations vont bon train. Les « initiés » affirment qu’elles ressembleront peu ou prou aux solaires MP3 commercialisées par Oakley. Mais ceci n’est peut-être qu’une hypothèse, car personne n’a encore vu de ses propres yeux les fameuses lunettes. Leur date de lancement et leur mode de distribution restent également de totales inconnues.

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