Zeiss Sunlens et ses « lunettes en papier »

À l’occasion de son centenaire, Carl Zeiss Vision Sunlens présente une édition limitée très spéciale de solaires imaginées par le designer hongkongais Simon Chim.

On n’a pas tous les jours 100 ans. Il y a un siècle exactement, la société allemande lançait en effet les verres ophtalmiques Punktal. Depuis lors, nombreux ont été les produits phares mis au point par le verrier. Citons pêle-mêle le traitement antireflet en 1935, le verre minéral photochromique en 1970, les verres progressifs à symétrie horizontale en 1983 ou encore les verres progressifs personnalisés en 2000. Aujourd’hui, pour célébrer cet anniversaire, la division Sunlens, dédiée au développement et à la production de verres solaires non-ophtalmiques, propose une série limitée de lunettes de soleil spécialement créées par Simon Chim. Ce designer de Hong Kong est notamment connu pour être le créateur de Recycle Paper Frames, ce concept qui consiste à envelopper une monture de lunettes de vue de papier imprimé, puis de la polir après l’application de plusieurs couches de revêtement protecteur. Le tout, fait à la main. Le designer hongkongais a appliqué cette méthode originale en prenant des images qui représentent des temps forts de l’innovation portée par Zeiss en matière de verres, bien sûr, mais aussi du côté des microscopes, objectifs photographiques et caméras. La photo ci-dessus donne un aperçu du résultat. Pour la vente, chaque paire de lunettes est accompagnée d’un élégant présentoir sur-mesure. Finissons en soulignant que chaque monture est équipée des verres solaires maison en CR-39.

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Les tendances des lunettes 2012.

Parce que chaque année, la mode change, voici un petit point sur la tendance 2012 en matière de lunettes de vue !

Ce sont les formes et les couleurs des année 60 qui sont remise au goût du jour pour 2012 ! Deux formes dominent pour les femmes. La première est le rond, bine qu’il faille faire attention à ce que ces montures s’adaptent à la forme de votre visage. La seconde, plus originale et d’avantage féminine est une forme papillonante, comme par exemple le modèle Ray Ban ci dessous.

Chez les hommes, la tendance reste d’avantage au classique rétro, comme les lunettes de vue Ray Ban WayFarer. Cette forme est reprise par de nombreuses marques et le modèle est disponible chez ExperOptic.

Notons que les couleurs flashy seront elles aussi à l’honneur. Les lunettes de soleil se déclinent souvent dans toute une gamme de couleurs vives. Quant aux lunettes de vue, ExperOptic vous en propose des colorés depuis plusieurs mois maintenant. Même si le noir, sobre et classe,reste à la mode, n’hésitez pas à porter de la couleur. Cette année, l’écaille fait également son grand retour. Bref, il y a donc l’embarras du choix au niveau des coloris !

Du côté des matières, c’est le plastique qui est tout en haut du podium, notamment s’il est transparent ou coloré. Les matériaux plus naturels tels que le bois et le cuir sont également tendance, tout comme les lunettes écologiques ! Le recyclable a du succès et c’est également le cas en matière d’optique, avec par exemple des lunettes fabriquées à partir de planches de skate cassées.

Santéclair agrandit son réseau d’opticiens.

Santéclair complète son réseau optique. Dans les prochains jours, la plateforme  lancera des appels d’offres locaux dans une centaine de zones « en carence », où  le nombre souhaité de magasins partenaires n’est pas atteint et où il n’y pas de  liste d’attente.

Pour savoir s’ils appartiennent à l’une de ces zones, les opticiens doivent consulter le site Internet de Santéclair, www.santeclair.fr. Le cas échéant, ils pourront faire une demande d’accès à leur espace de candidature. Dans le cas contraire, ils seront invités à renseigner leur adresse e-mail pour être informés si un appel d’offre local est ouvert sur leur zone dans les 6 mois qui suivent la demande.

« Les opticiens concernés par un appel d’offre local et souhaitant faire acte de candidature devront se conformer au règlement disponible dans leur espace de candidature et aux instructions figurant sur le site Internet de Santéclair ». Ils devront
notamment respecter « les délais impartis ainsi que les exigences de base à toute candidature », rappelle Santéclair. A ce jour, le réseau optique de la plateforme compte 1 700 magasins. Il a été renouvelé début 2011 : 5 700 opticiens s’étaient portés candidats.

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La rétine artificielle.

La société Second Sight Medical Products vient de publier dans la revue Ophtalmology les résultats intermédiaires de son étude clinique portant sur sa rétine artificielle Argus II. Celle-ci peut restituer partiellement les fonctions visuelles des personnes atteintes de pathologies telles que la rétinite pigmentaire. Développé en partenariat avec l’Institut de la Vision à Paris, cet implant a obtenu l’autorisation de commercialisation en Europe il y a un an.

La quasi-totalité des patients améliorent leurs performances visuelles

« Les résultats démontrent la fiabilité à long terme et attestent que les sujets précédemment non-voyants ont obtenu de meilleurs résultats de tests visuels avec le système Argus II, notamment en termes de localisation d’objets et de discrimination de mouvement », se réjouit Dr Mark Humayun, professeur d’ophtalmologie et de génie biomédical à l’Université de Californie du Sud et principal auteur de l’étude. La prothèse a été implantée chez 30 patients (dont 4 en France), suivis pendant au minimum six mois. Les tests ont montré que :

- 96 % des sujets ont amélioré leur localisation d’objets
- 57 % des sujets ont amélioré leur discrimination de mouvement
- 23 % des sujets ont amélioré leur discrimination de champ visuel orienté.

L’étude montre également que le profil d’innocuité de cette rétine artificielle est « comparable à d’autres dispositifs et procédures ophtalmiques ». « Elle peut, tout simplement, aider les non-voyants à voir. Elle suscite un grand espoir parmi les patients atteints de rétinite pigmentaire », estime le Dr Stanislao Rizzo (Université de Pise), premier chirurgien à implanter Argus II après son approbation pour le marché européen. En France, le Professeur José-Alain Sahel, directeur de l’Institut de la Vision, a précisé au printemps dernier que « les personnes aptes à recevoir l’Argus II pourront être implantées dès qu’il sera remboursé par la sécurité sociale ».

Un dispositif bourré d’électronique

Rappelons que ce dispositif fonctionne grâce à la conversion de vidéos. Une caméra minuscule, placée sur des lunettes, filme des images. Un ordinateur de la taille d’un téléphone portable, qui se porte à la ceinture, traite ces images et les imprime, via une liaison sans fil, sur la puce électronique implantée sur la rétine. L’implant transmet des signaux aux cellules ganglionnaires de la rétine. Ces signaux sont interprétés comme des images par les aveugles, après plusieurs mois d’apprentissage.

Les Lunettes Technologiques de Google.

La rumeur court depuis plusieurs jours sur la Toile et n’a pas été démentie : Google s’apprête à lancer des lunettes dignes d’un film de science-fiction. Selon le site 9To5, qui a été le premier à dévoiler l’information, le prototype serait déjà testé par une poignée de chanceux, et les « geeks » attendent impatiemment sa commercialisation.

Un petit bijou bourré d’électronique

Selon les informations dont nous disposons, ces lunettes intégreraient le système d’exploitation Android (qui appartient à Google) pour transmettre à son utilisateur diverses informations. Elles seront connectées à Internet via une puce 3G pour accéder directement aux services proposés par Google. Le porteur pourra naviguer sur la Toile et cliquer sur les différentes fonctions pardes mouvements de la tête, « simples et intuitifs », explique 9To5, ou par un système de commande vocale. Les données seront projetées sur l’un des verres, l’autre restant neutre pour ne pas troubler la vision du porteur. Par ailleurs, les lunettes reprendront les fonctionnalités « classiques » d’un smartphone, avec un micro, un GPS, des écouteurs et une caméra miniature dotée d’un flash.

Côté look, les spéculations vont bon train. Les « initiés » affirment qu’elles ressembleront peu ou prou aux solaires MP3 commercialisées par Oakley. Mais ceci n’est peut-être qu’une hypothèse, car personne n’a encore vu de ses propres yeux les fameuses lunettes. Leur date de lancement et leur mode de distribution restent également de totales inconnues.

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Les chiffres du marché de l’optique.

10 825  : C’est le nombre de magasins opticiens en France en 2011, soit 25 points de vente en moins par rapport à 2010. C’est la première fois depuis 10 ans que le nombre de magasins d’optique diminue en France mais cette tendance est à confirmer car depuis l’été, le nombre de d’ouvertures est reparti à la hausse.

3,5 : Les français renouvellent en moyenne leurs lunettes tous les 3 ans et demi. Cette fréquence de renouvellement passe à 2 ans chez les français âgés de moins de 40 ans.

277 : C’est le prix moyen en euros d’une paire de lunettes avec verres unifocaux, c’est à dire des verres équipés d’un unique foyer permettant de corriger de nombreux défauts visuels (myopie, hypermétropie, astigmatisme et presbytie).

591 : C’est le prix moyen en euros d’une paire de lunettes équipée de verres progressifs. Il a augmenté de 3 euros depuis l’année précédente.

5,402 : C’est ce que représente – en milliard d’euros – le marché de l’optique en France en 2011. C’est un accroissement de 2,1 % depuis 2010.

52,7% : C’est la part du chiffre d’affaires de l’opticien réalisée par la vente de verres. A noter que les montures représentent 24,9% des ventes, les solaires ; 9,2%, les lentilles de contact 6,5% et les produits d’entretien pour lentilles 1,7%.

+ 2,5 % : C’est l’augmentation du chiffre d’affaire pour la vente de verres de correction. Les verres progressifs sont en progression. La vente de verres avec un traitement anti-reflet à également augmenté de 5% au premier semestre 2011.

+ 3,5% : C’est l’augmentation du chiffre d’affaires réalisé par la vente de lunettes solaires. En 2011, les ventes ont été très favorables aux montures de marques et c’est donc le panier moyen des montures solaires qui a fortement augmenté.

- 2,8% : Le chiffre d’affaires réalisé par la vente de lentilles de contact mensuelles a diminué de 2,8% par rapport à l’an dernier. Il paraît probable que les porteurs de lentilles se tournent vers d’autres circuits de distribution comme la vente par internet. Le chiffre d’affaire de produits pour lentilles a également diminué de 1%.

79%, enfin : C’est la part des français portant des lunettes ou des lentilles.

Le congrès de l’Association d’Optométrie Française.

Qu’est ce que l’optométrie ?

D’après le site de l’AOF, l’optométrie est une profession de santé autonome, formée et réglementée. Les optométristes sont les professionnels de santé de loeil et du système visuel. Ils assurent un service oculaire et visuel complet incluant la fourniture des équipements optiques, la détection, le diagnostic et le suivi des maladies oculaires ainsi que la réhabilitation du système visuel.

Les optométristes suivent un cursus universitaire différent des opticiens : à la suite du BTS, les optométristes passe une licence ainsi qu’un master. En France, ils ne sont pas reconnus et ne peuvent donc pas effectuer librement leur profession. A ce jour, les opticiens sont donc les seuls à pouvoir vendre des lunettes.

Le 30° congrès de l’AOF (Association des Optométristes Français) se tenait le week end dernier à Paris. Philippe Verplaetse et Jean-Luc Dubié, respectivement les président et vice-président du syndicat, ont fait part de leurs espoirs quant à l’aboutissement de la proposition de loi visant à réglementer l’optométrie déposée par la sénatrice UMP Jacqueline Panis. Soutenue par déjà plus de quarante sénateurs, cette loi pourrait en effet voir le jour d’ici deux ou trois ans. L’AOF espère pourvoir toucher de nouveaux sénateurs, notamment ceux de gauche, qui ne se sont pas encore exprimés sur la question.

Cependant il y a encore des freins à cette proposition de loi. En effet, certains élus y sont opposés, dont le premier ministre français, François Fillon qui se dit être tout à fait contre cette loi. L’AOF appelle donc les personnes ayant signées la proposition de loi de sensibiliser leurs élus locaux : maires, conseillers régionaux et généraux, … Il est également envisageable qu’une sensibilisation auprès du grand public voit le jour, par le biais de pétitions. De plus, l’AOF espère pouvoir développer des délégations de tâches avec les médecins généralistes. Des transferts de compétences pourraient être envisagées au niveau national.

L’achat de lunettes en baisse.

Depuis un certain temps maintenant, les études sur la santé démontrent toutes une augmentation du budget des Français. En effet, il semblerait que, pour 52% à 68% des Français, les dépenses concernant la santé aient sensiblement augmentées ces deux dernières années.

Des soins qui reculent.

Forcément, cette hausse du coup de la santé rebute et les gens sont nombreux a préférer décaler, voire annuler, une consultation médicale ou un achat en lien avec la santé. Cette réalité concernerait effectivement près de 60% de la population Française. Parmi les achats qui reculent fortement, les lunettes sont extrêmement touchées : 48% se sont déjà vus dans l’obligation de repousser l’achat de lunettes ou de lentilles, ou d’y renoncer.

L’achat de lunettes  de vue à l’étranger, une solution ?

On pourrait le croire, mais ce ne semble pas être le cas : seulement 5% des Français achètent à l’étranger afin de trouver des équipements de santé moins onéreux. Cela concerne principalement les populations frontalières. L’achat de lunettes de vue sur internet, par contre, peu présenter une alternative idéale à cette baisse d’achat. En effet, les français pourraient y trouver des équipements de qualité et à faible coûts.

La durée de validation des ordonnances à 5 ans

Le 22 décembre dernier, les sénateurs ont votés les articles 5 bis et 6 du projet de loi afin de renforcer les droits, la protection et l’information des consommateurs. Une des nouvelles mesures dorénavant en cours est de porter à 5 ans l’autorisation faite aux opticiens d’adapter et renouveler les prescriptions médicales de verres correcteurs.

Selon Gérard Cornu, cette mesure a de bonnes chances de trouver une majorité à l’assemblée nationale car elle répond à « un problème crucial, qui est celui de la démographie médicale, en baisse, et de l’allongement des délais d’attente pour obtenir un rendez-vous chez les ophtalmologistes. » Après avoir proposé l’allongement de la durée des ordonnances à 3 ans, Gérard Cornu tente de trouver des solutions qui s’adaptent à la situation.

Concernant la réaction des ophtalmologistes, allant à l’encontre de la société, il estime avoir agis en tant que parlementaire et avoir fais ce qu’il lui semble bon pour la société. Il reste convaincu que les ophtalmologistes ont à gagner en se rendant plus disponibles pour les personnes qui posent réellement problème. De leur côté, les généralistes, pharmaciens et opticiens peuvent les soulager en matière de contrôle.

De leur côté, les ophtalmologistes refusent cet allongement de cinq ans de la durée de validité des ordonnances, estimant qu’il s’agit d’un non sens sur le plan sanitaire. Pour le docteur Jean-Bernard Rottier, président du Syndicat national des ophtalmologistes de France (SNOF), il s’agit « d’une mesure grave qui touche à la santé des Français. »

Les Français et leurs mutuelles

Nous vous conseillons d’écouter l’interview de Julien Filiaud, Directeur du développement du site www.mutuelles-conseil.com  sur  www.fréquenceoptic.fr

Cette interview expose 4 constatations faites sur l’exploitation de leur comparateur. celui-ci reçoit plus de 1 000 000 visiteurs par an avec 35 000 comparaisons par mois.

Les critères de choix d’une mutuelle sont le prix et les garanties offertes en Optique et en dentaire. Les autres  paramètres étant clairement encadrés, l’Optique et le dentaire deviennent de vrais critères de sélection.

20% de leur visiteurs effectuant des comparaisons semblent changer de mutuelle dans l’année. Ce phénomène de  »Switchers » est important et semble traduire une volatilité croissante des assurés.

La consultation des mutuelles suit une saisonnalité. De Janvier à Août, les visiteurs sont en fait en phase de renouvellement d’équipement optique ou de soins dentaires. C’est quand ils sont confrontés aux coûts et restes à charge qu’ils commencent à s’interroger sur la bonne adéquation de leur contrat de mutuelle. En fin d’année, ils sont clairement en phase de recherche d’une nouvelle mutuelle.

Il semble qu’il n’y ait aucune attente des assurés pour un réseau en propre développé par la mutuelle auprès de laquelle ils cotisent. En clair, il semble que les assurés sont attachés à leur liberté pour choisir leur professionnel de santé, et ne comptent sur leurs mutuelles que pour faire face aux dépenses à supporter ( ou pas ) en fonction de leur situation.

Voilà une interview intéressante qui laisse songeur sur les réseaux dits fermés, ou les remboursements différenciés mis en place par les OCAM (Organismes complémentaire d’Assurance Maladie).
Il semble que ces réseaux ont été montés pour pallier à l’opacité des coûts et à une concurrence pas assez active. Monsieur Filiaud estime que nous sommes face à un mouvement de balancier et que l’équilibre n’est pas encore atteint.
Chez ExperOptic nous pensons que la libre concurrence est essentielle pour la réduction des coûts et qu’à ce titre, la vente en ligne de lunettes trouvera sa place. Elle est une réponse innovante, économique et en adéquation avec la situation économique de nos compatriotes.